Dans un coup de théâtre géopolitique qui pourrait redessiner l’équilibre mondial, le président américain Donald Trump a revendiqué, dans la nuit du 22 au 23 juin 2025, une attaque militaire éclair contre trois sites nucléaires iraniens — Fordow, Natanz et Ispahan.

Baptisée « Operation Midnight Hammer », cette frappe d’une précision chirurgicale, menée en coordination avec Israël, a mobilisé des bombardiers furtifs B-2, des missiles Tomahawk et des bombes GBU‑57. Trump, triomphant, a salué un « succès militaire spectaculaire », affirmant avoir « totalement obliteré » les capacités nucléaires de la République islamique.

Téhéran a confirmé les frappes, tout comme l’Agence internationale de l’énergie atomique, qui a toutefois rassuré sur l’absence de fuite radioactive. Mais la riposte ne s’est pas fait attendre : une salve de 20 missiles iraniens a visé Israël, causant plusieurs blessés selon des sources locales. L’escalade est désormais bien réelle. Benjamin Netanyahu a félicité l’audace de Trump, tandis que Moscou, Pékin et Bruxelles lancent des appels à la désescalade, inquiets des répercussions régionales et d’un embrasement incontrôlable.

À Washington, le coup d’éclat du président Trump soulève de vives critiques. De nombreux élus dénoncent une opération lancée sans aval du Congrès, remettant en cause sa légalité et redoutant une guerre prolongée. Des analystes militaires préviennent : cette démonstration de force pourrait relancer la fuite en avant nucléaire de l’Iran. Ce 23 juin 2025, le monde entre dans une zone de turbulences où la ligne rouge entre dissuasion et conflagration semble plus mince que jamais.

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Rédaction de Biba 241

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