Alors que l’introduction en bourse de BGFI Holding est suspendue à la suite d’un contentieux entre le PDG Henri Claude Oyima et un groupe d’actionnaires minoritaires, ce dernier se confie avec sérénité. Entre transparence, confiance dans la régularité de la procédure et ambition pour l’avenir, il clarifie les enjeux autour de cette étape majeure pour le groupe.

L’actualité de BGFI Holding est aujourd’hui centrée sur l’introduction en bourse, initialement prévue le 31 juillet 2025, mais reportée en raison d’un contentieux porté devant le tribunal de Libreville. Henri Claude Oyima, PDG du groupe, assure avec calme que la procédure s’est déroulée dans le respect total des règles. « Nous disposons de tous les éléments pour démontrer que l’assemblée générale extraordinaire du 25 juin 2025 a été conduite selon un cadre strict, avec un bureau de scrutateurs, des commissaires aux comptes et une retransmission vidéo. Chaque vote est enregistré, et les résultats validés », précise-t-il. Le groupe, solide financièrement avec un bilan dépassant 5 000 milliards de FCFA, voit dans cette introduction une étape naturelle pour son développement, notamment grâce au dynamisme du marché camerounais.

Face aux critiques d’un groupe d’actionnaires minoritaires, notamment Christian Karangal, qui évoque un passage en force, le PDG reste factuel : « En consultant le registre du capital, aucune minorité de blocage n’a été constituée. Le processus a été transparent et conforme. Ce qui se joue aujourd’hui relève plus de la gesticulation que d’une réelle contestation. » Refusant d’entrer dans les spéculations politiques, Henri Claude Oyima rappelle son engagement personnel pour la pérennité du groupe qu’il a bâti depuis plus de quarante ans. « Mon seul souci est de garantir un avenir prospère à BGFI Holding, pour qu’il continue de rayonner sur notre continent dans les décennies à venir », conclut-il avec détermination et confiance.

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Rédaction de Biba 241

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