Un accord de mobilisation de 3 milliards de dollars (1 800 milliards de FCFA) conclu avec Afreximbank permettra au Gabon d’accélérer les investissements dans les secteurs clés de l’économie et du bien-être des populations.

À la suite de l’annonce conjointe des Présidents d’Afreximbank, Benedict Okey Oramah et Georges Elombi, sur leur engagement à soutenir le Gabon à hauteur de 5 milliards de dollars (3 000 milliards de FCFA), le Ministre d’État en charge de l’Économie et des Finances, Henri-Claude Oyima, a finalisé un accord de mobilisation de 3 milliards de dollars, soit 1 800 milliards de FCFA. Cette opération vient en soutien au budget d’investissements prévu dans le Projet de Loi de Finances 2026 et permettra de couvrir une grande partie du besoin global de financement estimé à 3 200 milliards de FCFA.

Les fonds mobilisés seront prioritairement alloués à des projets à fort impact sur le quotidien des Gabonais et la compétitivité économique. Ils viseront notamment les secteurs de la santé, de l’éducation et de l’enseignement supérieur, les infrastructures routières, l’énergie et l’eau, ainsi que le logement, contribuant ainsi à améliorer le cadre de vie des populations et à soutenir la transformation structurelle du pays.

Lors de la cérémonie de signature, le Ministre d’État a souligné l’importance stratégique de cet accord pour la mise en œuvre concrète du projet de société du Président Brice Clotaire Oligui Nguema. « Chaque franc CFA investi devra se traduire en salles de classe, en lits d’hôpital, en routes réhabilitées ou construites et en énergie disponible », a-t-il déclaré, mettant l’accent sur la matérialisation tangible des financements dans la vie des citoyens.

Avec cet accord, le Gabon renforce sa capacité à financer des projets structurants et à accélérer son développement tout en consolidant la confiance des partenaires financiers internationaux. Ce partenariat avec Afreximbank illustre la volonté du pays de mobiliser des ressources durables pour répondre aux priorités nationales et aux besoins des populations.

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La rédaction

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